Revenir en arrière 10/08/2021 - enfantappel à dontchad

Des nouvelles d'Ansar

C’est une formidable chaîne de solidarité qui a permis de sauver Ansar !

Tandis que la pandémie avait repoussé son diagnostic, la vie d’Ansar était menacée. L’état de la jeune tchadienne était des plus critique... Mais une opération du cœur demeurait impossible dans son pays. C’est alors que toute une chaîne de solidarité s’est mobilisée pour faciliter sa venue en France. La jeune fille a été hospitalisée en urgence à l’hôpital Marie Lalelongue, où le Dr Jérôme Petit et son équipe ont bousculé leur programme interventionnel pour la prendre en priorité. L’opération fut un réel succès. Suite à celle-ci, Ansar est restée sous surveillance et a été accueillie dans la famille du chirurgien le temps de sa convalescence. Sans cet élan de solidarité, la jeune tchadienne serait devenue paralysée et phasique (perte de la parole) en quelques mois. Mais grâce à votre aide, Ansar retrouver ses proches, en pleine santé et épanouie.  

IL FAUT RÉAGIR D’URGENCE !

La jeune Ansar a 15 ans et vit à N’Djamena, au Tchad. Depuis trop longtemps, elle souffre d’un grave problème au cœur qui ne cesse de l’épuiser. Constamment essoufflée, elle n’a d’autre solution que de dormir en position assise, seul moyen de ne pas s’étouffer. Sa vie ne tient plus qu’à un fil… Nous avons besoin de votre aide.

Des examens médicaux repoussés en raison de la pandémie

En mars 2020, Ansar devait être vue en consultation par le Pr Jean-Philippe Lesbre, cardiologue bénévole de La Chaîne de l’Espoir, alors en mission au Tchad. Sa venue était programmée mais, en raison de la pandémie, celle-ci a dû être reportée car tous les avions étaient cloués au sol. C’est donc un an plus tard, en mars 2021, que le Pr Lesbre a pu recevoir la jeune fille lors d’une nouvelle mission sur place.

Une maladie de la pauvreté 

Mars 2021 : le diagnostic tombe… La fillette souffre d’un rétrécissement mitral très sérieux, un mal qui frappe les pays pauvres. Ce sont des angines non traitées qui altèrent l’une des valves du cœur. Dans le cas d’Ansar, la valve mitrale ne s’ouvre plus complètement et laisse passer un flux sanguin trop restreint. Le sang emprunte donc une mauvaise voie et inonde ses poumons.

Une intervention impossible au Tchad

Faute de moyens et de spécialistes, Ansar ne peut être soignée dans son pays. Il faut la faire venir de toute urgence en France pour lui sauver la vie ! Heureusement, le Dr Jérôme Petit et son équipe sont prêts à réaliser l’opération à l’hôpital Marie-Lannelongue, au Plessis-Robinson. Il ne reste plus qu’à rassembler les fonds nécessaires pour réaliser cette intervention : 3 000 €.

Avec votre soutien, vous lui sauverez la vie.

Ensemble, soyons solidaires !

>>Je fais un don pour sauver Ansar