Ayouba a besoin d’une opération
Brûlé à l’œsophage, le petit Malien ne peut plus rien avaler.
Ayouba est en grand danger suite à un accident domestique. Echappant à la vigilance de sa maman, ce petit Malien a avalé un produit ménager corrosif. La catastrophe s'est produite il y a 3 mois à Kolondiéba, une petite ville située à 250 kilomètres de Bamako, la capitale du Mali.
Tout son œsophage a été brûlé. Une douleur atroce pour cet enfant... Dans les semaines qui ont suivi l'accident, Ayouba avait de plus en plus de mal à manger, il régurgitait la quasi-totalité de ce qu'il avalait. Ne pouvant plus se nourrir, il maigrissait beaucoup, et bavait en permanence. Très inquiète, la famille a rassemblé toutes ses économies et pris la route en direction de l'hôpital de Bamako.
Là-bas, le diagnostic a été posé : l'œsophage brûlé s'est rétréci au moment de la cicatrisation. Les médecins ont dû prendre une décision radicale : opérer le petit garçon pour lui placer une sonde dans l'estomac, car plus rien ne peut passer par sa bouche !
Depuis, sa maman doit injecter plusieurs fois par jour une bouillie à travers cette sonde. Et en plus de la douleur, de la gêne, Ayouba vit isolé des autres enfants.
Changeons la vie de cet enfant
Il faut donc agir vite, et justement, une équipe médicale sous la conduite du Dr Thomas s'apprête à partir à Bamako pour opérer une dizaine d'enfants de la région avec l'aide de médecins maliens.
Faites un geste et Ayouba pourra être ajouté au programme opératoire de cette mission.
Cette opération permettra à l'enfant de retrouver rapidement ses fonctions digestives, en greffant un fragment de son côlon. En effet, il pourra manger 2 jours seulement après l'opération et, une semaine plus tard, il sera totalement guéri et pourra rentrer chez lui.
Seulement, ajouter cette intervention au programme opératoire de la mission a un coût incompressible.
Avec votre aide, nous soignerons Ayouba. Il suffit de former une Chaîne et nous changerons la vie de cet enfant.
Nous espérons pouvoir compter sur votre soutien.
