Nous devons sauver Oumar
Il est urgent de sauver Oumar
Depuis plusieurs mois déjà, aucun vol n’est assuré entre Paris et Bamako. Nous avons néanmoins maintenu un contact quotidien avec les équipes maliennes sur le terrain grâce à des visio-conférences. Avec le Dr Diarra de l’hôpital de Bamako, au Mali, nous passons régulièrement en revue les dossiers des enfants à opérer en priorité et l’échocardiographie réalisée lors d’une consultation à distance du petit Oumar nous a rapidement alerté !
OUMAR NE PEUT PLUS ATTENDRE
Oumar aurait déjà dû être opéré. Mais la pandémie de Covid-19 a tout bouleversé. Notre Centre de cardiologie de Bamako a été réquisitionné un temps pour les malades du coronavirus. À présent, rien n’est terminé, mais les personnes atteintes du Covid ont été regroupées dans une autre partie de l’hôpital, et notre Centre, entièrement désinfecté, peut à nouveau accueillir des enfants malades du cœur.
Oumar souffre d’une oreillette unique. Normalement, le cœur est formé de deux oreillettes : l’une accueille le sang non-oxygéné, l’autre permet de diffuser le sang oxygéné vers l’organisme. Mais chez Oumar : la cloison séparant les deux oreillettes n’existe pas provoquant une surcharge de travail pour le cœur qui s’épuise.
UNE OPERATION TROP COUTEUSE POUR LA FAMILLE
Le travail des chirurgiens sera de créer la cloison que la nature n’a pas donné à Oumar. L’opération à cœur ouvert consistera à placer un patch entre les deux oreillettes… La circulation sanguine normale sera ainsi rétablie. Oumar retrouvera immédiatement son souffle et connaîtra dès lors une croissance harmonieuse et une vie normale.
Mais cette opération a un coût incompressible : 3 500 euros… Et le père de l’enfant, qui tient une petite quincaillerie dans un quartier pauvre de Bamako a déjà du mal à faire vivre sa famille. Comment lui demander de réunir des années de salaire…
Nous pouvons les aider, en devenant un maillon de cette chaîne et en faisant un don pour sauver Oumar.
REDMARRAGE DE NOTRE CENTRE DU CŒUR DE BAMAKO
L’intervention chirurgicale qui permettra au cœur d’Oumar de continuer de battre marquera le redémarrage de notre Centre du cœur de Bamako, reprise indispensable pour sauver toutes ces petites vies menacées.
Ensemble, mobilisons-nous !
